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Des vestiges amérindiens sur les plages de Caaroucaéra
.. le dictionnaire Caraïbe-Français du père dominicain Raymond Breton, datant de 1665, les Amérindiens nommaient les îles des Saintes "Caaroucaéra". Imaginez les terres désertes et boisées du magnifique archipel aux temps précolombiens. Ces plages, qui ravissent inlassablement l'oeil, étaient habitées vers le VIIe siècle par les Indiens caraïbes (de l'ère des Arawaks tardifs), qui pêchaient et vivaient en pe..roucaéra". Imaginez les terres désertes et boisées du magnifique archipel aux temps précolombiens. Ces plages, qui ravissent inlassablement l'oeil, étaient habitées vers le VIIe siècle par les Indiens caraïbes (de l'ère des Arawaks tardifs), qui pêchaient et vivaient en petites communautés. On les devine, assis près de leurs "canaoas" (pirogues) renversées sur le sable et brûlantes de soleil. A Terre-de-Ha..
Se baigner en toute sécurité
..s de marées, des courants de dérive générés par le vent abondent autour de la Guadeloupe. Selon le Service hydrographique et océanographique de la marine, les alizés, qui soufflent toute l'année sur l'archipel guadeloupéen, affectent les couches superficielles de l'eau par un effet d'entraînement, qui se transmet ensuite aux couches plus profondes. Près des côtes, la vitesse des courants de dérive en surfa..aines plages très localisées potentiellement dangereux, du fait d'une houle parfois importante, de courants et de lames de fond. C'est le cas, par exemple, des plages du nord Basse-Terre, côté mer des Caraïbes, de Sainte-Rose à Deshaies. "Pendant l'hiver, alors que des perturbations circulent sur l'Atlantique, une houle du nord descend sur les Antilles, explique Joël Guesquin, prévisionniste à Météo France..
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